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Les Leaders Africains doivent se repentir!


Aujourd’hui, le 16 mai 2001 à 4 :20 du matin, j’étais en transe à Staten Island, New York City. J’étais couché au lit. Mon corps se reposait sereinement, mais mon esprit était profondément occupé et éveillé. C’était à propos des problèmes poignants et douleurs en Afrique : la pauvreté, la guerre civile, la corruption et le sida. Tout à coup, dans une transe flottante, j’ai vu l’Afrique qui prenait une forme bizarre et incroyable d’un géant difficile à décrire ; et ce géant était prêt à châtier à juste titre.

Bien que je ne dormais pas, j’étais en Afrique et dans mon village natal –Tèyéouhon – parmi mes parents.  J’étais avec eux. Ceux qui m’ont élevé et ceux à qui je dois. Pendant que j’étais debout parmi eux, j’ai vu l’Afrique se séparer doucement du globe terrestre et se tint debout. J’étais debout. Debout et curieux pendant que mes yeux se déplaçaient et se déplaçaient à travers l’Afrique.

Entre temps un mouvement inouï commença lentement et progressivement à prendre une forme.  La première chose que j’ai vu – à l’endroit où l’Algérie et la Tunisie se rencontrent – était une couche progressive et mouvante qui dévoila un œil astronomique qui propagea extensivement une rivière de lumière autour de son propre corps, la terre africaine.  La lumière de l’œil énorme était si brillante, si éblouissante et si puissante qu’une aiguille au milieu des cailloux était visible à une distance de 800 mètres. En suite cet incident a été suivi par un abîme énorme en Egypte, où l’Afrique a éternué. Une puissance électrique et froide s’empara de mon corps et créa une peur ahurissante dans mon cerveau.  Pendant que je contemplais cet incident, un gosier bleu sans limite s’ouvrit entre Djibouti et Eretria.  Là, l’Afrique bâilla.

Pendant que je me posais des questions sur ce qui se passait, j’ai vu, comme une ville sous l’effet d’un tremblement de terre monstrueux, toutes les parties de l’Afrique en train de se mouvoir. Quelques partie s'immergeaient laissant des bloques énormes en forme de souches en terre.  Ces souches se rétrécissaient légèrement vers le ciel dans toute l’étendue du territoire africain comme des cobras qui soulèvent progressivement leurs têtes triangulaires.  Au dessus de ces figures géométriques, dont les sommets ressemblaient à des champignons, il y avaient des crépitements homogènes et divisés en cinq. Et une métamorphose eut lieu, et cette métamorphose transforma ces figures à des milliers de bras aux poils broussailleux armés de bâtons.

Il y eut des tumultes furieux suivis d’un moment silencieux.  De nul part, j’ai entendu une voix qui disait en voix de commandement : « J’en ai assez de vos malices ! Je ne peux plus supporter vos tyrannies et pratiques d’escroquerie que vous avez chroniquement établies sur mon corps dans le but d’asservir ou reduire à l’esclavage mes enfants innocents et bien aimes. J’en ai marre de vos usages égoïstes, anarchiques et de régionalismes sur mon corps ; usages qui continuent à me dévaster. Vous avez et continuez à malicieusement tuer mes enfants royaux et sans péchés, et vous ne séchez de reprendre les mêmes choses. J’en ai marre de ce qu’ont fait vos ancêtres en livrant mes meilleures et vaillant mains à la servitude de l’esclavage sans tenir compte de leurs grés.

Il y eut une pose aussi silencieuse comme dans un cimetière.  Après il y eut la reprise d’un ton modéré : « En plus, les frères et sœurs, qui auraient guéris les plaies, que vous ne séchez d’aggraver dans mon corps, vous les aviez non seulement détruis eux-mêmes, mais aussi leurs modes de vie en détournant leur naïveté et leur générosité en poison.  Et vous demandez aux enfants de tuer leurs propres frères et sœurs, de tuer leurs propres parents.  Pendant que ces enfants tuent, ou pendant que ces enfants se tuent entre eux, vous les dites, "Vous êtes des soldats entraînés pour mourir à tout prix pour défendre votre pays de ses ennemies."  Et vous créez une division entre les personnes qui dépendent de vous pour les guider ; et vous créez l’hostilité parmi les personnes de vos juridictions contre leurs voisins ; et vous faites amitié avec l’ennemie de vos sujets, la corruption.»

Dès que le mot corruption fut prononcée, sans avertir, il y eut des pluies de bastonnades sur les têtes et corps de la plupart des leaders africains, ces leaders qui croient que les pays qu’ils sont en train de gouverner les appartiennent.  Les bétonnages étaient comme la grande  pluie qui tombe sur des tôles légères et ondulées.  Des cris agonisants suivis.
Arrêtez !  La voix qui venait de nul par ordonna. « Nous venons de commencer. »
Tout à coup, tout disparu comme un flocon de neige sous un soleil ardent.  Mais mon esprit continua à m’interroger.  Je commençai à penser à mon pays de plus en plus.  Je commençai à penser aux choses que j’ai traversées.  Et je concluais : « Les bonnes œuvres sont rare, recherchons les ; tandis que les mauvaises actions sont nombreuses, évitons les. »

Par Joseph Haba
Doctoral Student
University of Phoenix
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Last updated  2011/12/12 11:14:45 PSTHits  562